À partir du motif d’un tableau de bataille, le spectacle exhume des bribes de l’Histoire vue sous le prisme récurrent de la guerre.

Le spectacle s’ouvre sur un enfant, sa présence et ses mots donnent le la, et tout va se dérouler comme dans un jeu d’enfant : ce ne sera pas dramatique ou pathétique, et pourtant tout sera là : la guerre, les ‘chevals’, les civils, les chefs, les soldats, les morts ; de la disproportion aux moindres détails.

L’enfant connaît ce tableau de bataille et cette histoire, parce qu’on lui a raconté, parce qu’il détient, sans le savoir, la connaissance de l’Histoire répétitive ; il convoque deux ‘artéologues’, une femme et un homme, qui sont aspirés par l’œuvre.

Tous les trois vont se rencontrer dans les tableaux sensibles qui composent le spectacle.